Créer de la musique pour vos programmes



« ... Mais pas très long, voyez-vous. Juste comme: "Votre visage brille", ce genre de choses, vous voyez. Quatre à cinq lignes, afin que tout le monde puisse le chanter. C'est tout ce que vous avez à faire. Et aussi, quand ces gens, ces nouvelles personnes, viendront et tout ça, au début, je ne pense pas qu'il faille les amener à l'ashram, pour commencer. Commencez avec ça.
D'abord, vous devriez avoir les programmes là-bas, puis les gens qui vont bien, permettez-leur ensuite de venir à l'ashram.
Guido: Oui.
Shri Mataji: Faites comme ça, puis enseignez-leur aussi la musique que nous utilisons. Vous devriez les mettre - car la musique est une chose qui vous relie beaucoup plus vite que toute autre chose. Et du point de vue vibratoire aussi, c'est très bien, car cela dégage vos pensées, et c'est très bien pour cela. C’est ainsi qu’il faut construire une musique comme ça. Puis vous avez, vous voyez, un très bon système ici, dont je pense que c'est une très bonne convention, par laquelle vous êtes très amicaux, secourables entre vous et vous ne défiez pas Guido.
Parce que c'est un autre problème que je vois toujours partout, ils continuent à défier la personne qui est connectée avec moi. Alors, que se passe-t-il, ma connexion entière commence à avoir des difficultés. Donc le mieux est de le soutenir, de l'aider de toutes les manières possibles. Je m'occupe de lui et les choses se passeront très bien.

Maintenant, quand ces gens viendront, voyez-vous, l'essentiel, c’est la façon dont vous devez gérer cela. Tout d'abord, lorsqu'ils viennent, le premier ou les deux premiers jours, deux fois et tout le reste, vous pouvez simplement mettre ma cassette pendant un certain temps. Donnez-leur des informations sur quelque chose, puis parlez-en avec eux, et ils poseront leurs questions, puis demandez-leur de mettre leurs mains, demandez-leur de méditer. Voyez si les vibrations se manifestent ou non. Vous devriez dire : "Il faudra une ou deux fois pour y arriver." En ce qui concerne la Kundalini, vous devez tout leur expliquer, il faut le faire…. D'accord? Alors, allez-y doucement. Amenez-les à comprendre.

Mais s'ils viennent à l'ashram, vous voyez, donnez-leur du thé, quelque chose. Vous pouvez préparer du thé ici aussi, vous pouvez faire un gâteau ici, le leur apporter. Quand ils sont là, vous leur donnez du thé ou quelque chose comme ça, vous voyez. Parce que la nourriture est une autre chose qui vous relie.
Sahaja Yogi: Oui.
Shri Mataji: Nous devrions donc en avoir. Et puis vous pouvez aussi mettre de la musique, de façon à ce que tout devienne intéressant. Vous pouvez donc avoir un peu de ce que vous appelez, disons, mon discours. Ensuite, vous pouvez...

Guido: Oui, nous diffusons une vidéo tous les dimanches.
Shri Mataji: Ah?
Guido: Nous montrons la vidéo, vos cassettes, la vidéo.
Shri Mataji: Ah!
Guido: Tous les dimanches, nous leur offrons du thé.
Shri Mataji: Oui, un peu, pas tout. Vous n'avez pas besoin de tout montrer. Vous leur donnez la moitié de la conférence. Donc, ils seront curieux de voir la suite.
[Rires]
Ensuite, après cela, ce que vous faites, c'est une fois que c'est fait, alors vous pouvez faire un peu de méditation. Ensuite, vous pouvez écouter de la musique ensemble. Et puis quelque chose à manger. Vous voyez, c'est comme ça que cela s’établira mieux, avec qui vous êtes. Et soyez très gentil. Il se peut qu'il y ait des personnes négatives. Il se peut que certaines personnes soient hantées. Maintenant, ne leur lancez pas au visage: "Vous êtes négatifs", ceci, cela . La chose la plus simple est de leur dire : "Vous avez besoin d'être corrigé. Pour cela, vous devez mettre la main gauche vers la photo, mettre une lumière derrière vous, comme ceci, et y travailler. Cela va s'arranger, vous vous sentirez mieux. La prochaine fois, venez nous le dire. Commencez donc avec la photo. Nous avons fait la même chose. Nous avons eu le même problème." Comme ça. Prenez sur vous pour qu'ils ne se sentent pas mal à l’aise. Dites toujours : "Nous étions pires que vous. Vous êtes bien meilleurs que nous." Ainsi, personne ne se sentira blessé.

Progressivement, vous devez les amener à entrer dans le jeu. Et une fois qu'ils y seront entrés, ils ne sortiront pas, comme vous.
[Rires]
D'accord ? Alors, il faut le faire avec beaucoup de sagesse, parce que ce que je constate quand je viens, c'est qu'il y a beaucoup de gens. Quand je ne viens pas, ils s'en vont. Pour quelle raison? Je ne suis pas italienne, je ne comprends pas l’italien, je ne peux pas le parler. Mais il y a quelque chose en moi qu'ils apprécient. C'est pour cela qu'ils sont là. Pareillement, vous devriez avoir la même chose: de l'amour, de l'affection, de la gentillesse. Il ne devrait pas y avoir d'irritabilité. Vous ne devriez pas être en colère contre eux. Vous ne devez pas vous énerver inutilement contre eux …

Parfois, je constate, car les gens me le rapportent, qu’ils se mettent à se disputer devant eux. Ils ont alors le sentiment qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent.
Mais vous allez vers une seule personne, s’il y a un problème, vous allez lui demander : "Maintenant, qu’est-ce que c’est? Qu’est-ce qu’il y a?" Mais ne vous disputez pas devant eux. Ils devraient savoir que nous sommes tous un seul peuple. Respectons-nous les uns les autres. Nous vivons dans le respect. Il faut faire preuve de respect les uns envers les autres.

Par exemple, j'ai vu des gens, c'est normal, je l'appelle Guido, c'est normal, parce qu'il est comme mon fils. Mais vous ne devriez pas l'appeler, vous tous, Guido, même un petit enfant viendra dire ‘Guido’. Ce n'est pas correct. Je ne sais pas comment vous dites, mais dans notre langue indienne, on dira ‘Guido ji’ ou oncle Guido. Ou Guido, comme ça, nous ne prononçons jamais le nom de nos aînés de cette manière. Il ne faut donc pas se contenter de [Guido] mais dire ‘mon frère Guido’, ou quelque chose comme ça.
D'accord ?

Il vaut mieux dire: "Mon frère, bonjour mon frère, comment vas-tu? " Comme on parle en famille. Et non pas dans un - où c'est, en quelque sorte, comme si nous marchions dans la rue, hum? Nous appartenons à une même famille, nous appartenons à une même famille, et nous devons nous adresser les uns aux autres comme si nous appartenions à une même famille. Comme en Inde, n'importe pourrait être, nous disons, un frère aîné, un frère cadet …
Par respect on dit ‘ji’, comme ‘Guidoji’, ‘Gumarji’, ‘Modiji’. Tout le monde est ‘ ji’, ‘Mataji‘.

Mais le respect l'un de l'autre est une chose que nous devons apprendre. Le respect, l'aide, le partage, il nous faut l’apprendre. C'est très important.

Une autre chose, c'est que je sais que l'italien est une très bonne langue et j'aimerais l'apprendre. Mais vous savez à quel point il sera difficile pour moi d'apprendre autant de langues.
[Rires]
Il est donc préférable que vous essayiez d'apprendre l'anglais. C'est mieux pour nous, au moins, et si possible, le marathi.
[Rires]
Ou l’hindi, l'une de ces langues, ce n'est pas difficile. Je connais maintenant au moins cinq ou six langues. Vous pouvez donc en connaître une ou deux. D'accord? ...

Nous gérons très bien maintenant et j'ai de grands espoirs pour l'Italie, de grands espoirs. Je suis sûre que cela fonctionnera très bien et qu'un jour, nous aurons ici un très grand centre. Dans l’état actuel des choses, nous avons vu cet endroit. Maintenant, nous envisageons de l'acheter et tout ça. Voyons comment cela se passe. Si vous obtenez cet endroit, alors nous ferons venir des gens de partout, ferons fonctionner les choses. Nous devons le construire, le faire correctement afin que nous ayons, pour de nombreux séminaires, un endroit aussi grand, voyez-vous.

Nous pouvons y installer des tentes ou quelque chose du genre. Les gens peuvent rester sous la tente. Nous pouvons organiser des séminaires ou quoi que ce soit, je veux dire, peu importe ce qui convient. Vous pouvez le faire là-bas, c'est un très grand endroit.

Nous avions vu un endroit à Londres où il y avait 12 acres et demi de terrain. Mais ils ont dit : "Nous n'autoriserons pas l'entrée de voitures; nous n'autoriserons pas l'installation de tentes là-bas." Vous voyez, alors à quoi ça sert d'avoir un tel endroit, qu'irions-nous faire là-bas? Rien, on ne peut rien faire! Donc, c'est comme ça que cela sera. Mais vous autres, vous devriez faire en sorte de tout arranger correctement et vous pourriez avoir un puits ou quelque chose comme ça. Il doit y avoir de l'eau, j'en suis sûre. Vous pourriez y trouver de belles pierres. Tout est possible. Il suffit de penser à Dieu et de faire son travail pour obtenir tout ce dont on a besoin de cette façon.
Et cela a été une période tellement réussie, si réussie, que tout le monde doit apprendre de vous comment les choses se sont déroulées…

Et aussi, je pensais à une ferme de santé [agriculture Krishi]. J'ai pensé à -
Sahaja Yogini: À quoi?
Shri Mataji: À une ferme de santé.
Guido: Une ferme de santé, c'est un très beau projet.
Shri Mataji: Donc, quiconque veut le faire peut venir en Inde et apprendre dans l'une des institutions à ce sujet. On peut devenir médecin ou autre.
 Il travaille aussi? Tu travailles?
Quiconque veut le faire. Tu travailles aussi?
Sahaja Yogini: Il commence.
Shri Mataji: Hum ?
Sahaja Yogi: Je commence.
Shri Mataji: Que fait-il?
J'étudie dans une école scientifique, Mère.
Shri Mataji: Hum ?
Sahaja Yogi: Une école scientifique. Une école scientifique.
Sahaja Yogi: Une école scientifique, c'est ce qu'il fait. Il étudie.
Shri Mataji: Qu'est-ce qu'il étudie? La science?
Sahaja Yogi: La science.

Shri Mataji: Donc, quiconque veut devenir médecin comme cela, peut venir et suivre le cursus en Inde. Vous pouvez vous renseigner sur l'admission. Je pense que c'est un cours d'un an ou quelque chose comme ça.
Guido: Seulement ?
Shri Mataji: La naturopathie.
Je voulais que Bogdan le fasse. On verra. Tout le monde peut le faire, il n’est pas nécessaire d’avoir une formation médicale. Ils vous apprennent simplement comment jeûner et comment mettre une gousse de graine dans la boue et toutes ces choses. Et tous les instruments, vous pouvez les trouver. Ce n'est pas difficile pour la naturopathie. Si vous voulez, je peux me renseigner pour ceux qui veulent le devenir. Ce n'est pas difficile. N'importe qui d'entre vous, tous les cours et tout, je les trouverai pour vous.

Oh, venez, les musiciens. Le père de Sangeeta !
Guido: Le père de Sangeeta!
[Rires]
Shri Mataji: Je lui ai dit pour la musique. Maintenant, asseyez-vous. Quelqu’un doit composer et quelqu’un doit le mettre en une musique appropriée. Et cela doit être élaboré de cette façon. Ce doit être une musique qui peut être chantée par tout le monde. Ce n'est pas une musique difficile. Si vous pouvez chanter une chanson en marathi, alors vous pouvez chanter n'importe quoi. C'est un rythme tellement rapide, n'est-ce pas? Elles sont très rapides. Les chansons en marathi sont très, très rapides. Je suis surprise de voir à quel point vous chantez si bien.
Alors, devrions-nous écouter une chanson avant de prendre congé?
Sahaja Yogi: Oh! Oui.
Guido: Bien sûr.
Voilà, mettez de la musique.
Ensuite, nous prendrons notre nourriture et iront nous coucher.
Guido: D'accord. Oui. »
Shri Mataji Nirmala Devi, conversation avec les Sahaja Yogis italiens, Rome, 10/05/1986

Photo: Les Yogis et Shri Mataji ont expérimenté une culture en mettant de l'eau vibrée sur des tournesols, dans sa ferme à Pune, à la fin des années 1980. Cela a produit énormément de grandes fleurs, plus de 12 pouces de diamètre. Elles étaient très lourdes et ont donné en moyenne 250 ml d'huile chacune. Cela a été rapporté dans le journal local. La photo montre Shri Mataji avec les tournesols démesurés.
Publié par dictionnaire sahaja yoga

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