Les politiciens doivent avoir de grands idéaux
« Donc, ces soixante ans, bien sûr, Sahaja Yoga est advenu, mais l'autre côté est également très profond, et il a une portée très profonde en Amérique, car les soixante dernières années ont été importantes pour l'Amérique aussi, très importantes. Et combien de changements ont eu lieu ces soixante dernières années en Amérique! Combien de présidents avez-vous eu? Je pense que quand Je suis née - quand Abraham Lincoln est-il mort?
Sahaja Yogi: En 1866, '67 juste après la guerre de sécession.
Shri Mataji: Ah. Et puis?
Sahaja Yogi: Ensuite Grant, Ulysse S. Grant le général comme président.
Shri Mataji: Eisenhower est venu. Avant Eisenhower, qui était-ce?
Sahaja Yogi: Truman, Mère.
Shri Mataji: Truman Je veux dire. Je pense qu’à ma naissance, c’était Truman. Vous voyez, Truman est venu, puis Eisenhower, Je veux dire, il y en a eu tellement.
Sahaja Yogi: Truman, Eisenhower, Kennedy, je pense Nixon. Johnson. Johnson, Nixon. Shri Mataji: Cinq, imaginez! Et en soixante ans. Qui était là avant Truman? Eisenhower?
Sahaja Yogi: Non, Roosevelt, Roosevelt.
Shri Mataji: Non, non, c'est Roosevelt. Roosevelt. J'étais du temps de Roosevelt. Je me souviens aussi très bien de Roosevelt. Roosevelt était quelqu’un de formidable. Je veux dire, vraiment formidable. Après Roosevelt, c’est horrible! Ça tourne en rond. Ce Reagan, il n'a pas de vision, il n'a pas de sentiments supérieurs, rien.
Vous voyez, pour combattre la Russie, vous devez avoir des gens comme le Mahatma Gandhi, vous voyez, qui connaissaient le pouvoir des êtres humains, vous voyez. Les gens comme Reagan ne peuvent pas combattre, ni cette Mme Margaret Thatcher. Vous avez besoin de gens comme le Mahatma Gandhi pour les combattre.
Il n’y a qu’une seule route, quelque part, vraiment improbable, que J’ai vue une fois, en son nom. Je n’ai vu rien d’autre! Je veux dire, J’ai vu une fois une statue d'Abraham Lincoln. Et c'était l’homme le plus formidable auquel on puisse penser.
Et encore plus formidable que Jawaharlal Nehru ou quiconque, parce qu'il a donné de si grandes conceptions et de si grandes idées de la liberté. Qu’en est-il de ces Reagan et autres? Je veux dire, imaginez, un acteur de cinéma! Les Anglais n'accepterait pas cela au moins. Bien sûr, même Margaret Thatcher est une sorte de petite commerçante. Mais Reagan… Je ne comprends tout simplement pas.
Sahaja Yogi: Il ne semblait pas y avoir beaucoup de choix pour les élections.
Shri Mataji: Hum?
Sahaja Yogi: Il ne semblait pas y avoir beaucoup de choix, juste entre lui et Jimmy Carter. Shri Mataji: Oui.
Sahaja Yogi: Il n'y a pas d'autre choix.
Shri Mataji: Premièrement, Jimmy Carter était une mauvaise idée, vous voyez. C’est comme de se retirer les uns après les autres. Donc, entre eux deux, Je ne sais pas. Mais pour un si grand pays! Vous avez de si grands penseurs! N'avez-vous que ces deux clowns à élire? Ce que Je dis, c’est pourquoi ne pas faire ressortir des gens formidables? Des gens avec des idées, des gens avec une pensée plus élevée. Ou bien autrement, vous ne pourrez pas combattre les Russes à moins que vous n’ayez de belles paroles. Vous devez leur parler de toutes ces grandes choses, alors les Russes n’auront rien à répondre.
Sahaja Yogi: Mère, ils ont une telle attitude de show business envers tout. Ils n'ont pas-
Shri Mataji: Les Américains.
Sahaja Yogi: Ils ne prennent pas cela au sérieux. Même en Occident, avec les Indiens, ils ne font que des films en Inde. Ils ne voient jamais la réalité.
Sahaja Yogi: Est-ce parce qu'ils nuisent à leurs racines?
Shri Mataji: Oh, vous devez avoir des leaders qui sont des visionnaires, vous voyez, ceux qui ont de plus grandes idées. Sinon, comment seront-ils des leaders? Les dirigeants doivent avoir de grandes idées, vous voyez. Le leadership, c’est le fait qu'un leader ne s'attaquera jamais aux petits problèmes de ses partisans mais leur donnera des problèmes à résoudre: "Très bien, résolvez ceci. Résolvez ce problème. Nous devons le faire. Maintenant, Je dois y aller en Amérique, dis-moi maintenant ce que Je dois faire." C’est ainsi que vous devez diriger les gens. Donnez-leur à penser. Au lieu de cela, vous vous concentrez sur leurs plus petits problèmes, voyez-vous, terminé! »
Shri Mataji Nirmala Devi, conversation avec les Sahaja Yogis de Brighton, Royaume-Uni, 198027/05/1980Sahaja Yogi: En 1866, '67 juste après la guerre de sécession.
Shri Mataji: Ah. Et puis?
Sahaja Yogi: Ensuite Grant, Ulysse S. Grant le général comme président.
Shri Mataji: Eisenhower est venu. Avant Eisenhower, qui était-ce?
Sahaja Yogi: Truman, Mère.
Shri Mataji: Truman Je veux dire. Je pense qu’à ma naissance, c’était Truman. Vous voyez, Truman est venu, puis Eisenhower, Je veux dire, il y en a eu tellement.
Sahaja Yogi: Truman, Eisenhower, Kennedy, je pense Nixon. Johnson. Johnson, Nixon. Shri Mataji: Cinq, imaginez! Et en soixante ans. Qui était là avant Truman? Eisenhower?
Sahaja Yogi: Non, Roosevelt, Roosevelt.
Shri Mataji: Non, non, c'est Roosevelt. Roosevelt. J'étais du temps de Roosevelt. Je me souviens aussi très bien de Roosevelt. Roosevelt était quelqu’un de formidable. Je veux dire, vraiment formidable. Après Roosevelt, c’est horrible! Ça tourne en rond. Ce Reagan, il n'a pas de vision, il n'a pas de sentiments supérieurs, rien.
Vous voyez, pour combattre la Russie, vous devez avoir des gens comme le Mahatma Gandhi, vous voyez, qui connaissaient le pouvoir des êtres humains, vous voyez. Les gens comme Reagan ne peuvent pas combattre, ni cette Mme Margaret Thatcher. Vous avez besoin de gens comme le Mahatma Gandhi pour les combattre.
Pour combattre une épée, vous devez avoir un bouclier, un bouclier approprié, pas une épée.
Et si vous pouviez produire quelqu'un comme Abraham Lincoln maintenant, il peut les remettre à leur place. Mais lui aussi, Abraham Lincoln, c’est une autre grande bénédiction qu'ils ont eue, quelle grande bénédiction!Il n’y a qu’une seule route, quelque part, vraiment improbable, que J’ai vue une fois, en son nom. Je n’ai vu rien d’autre! Je veux dire, J’ai vu une fois une statue d'Abraham Lincoln. Et c'était l’homme le plus formidable auquel on puisse penser.
Et encore plus formidable que Jawaharlal Nehru ou quiconque, parce qu'il a donné de si grandes conceptions et de si grandes idées de la liberté. Qu’en est-il de ces Reagan et autres? Je veux dire, imaginez, un acteur de cinéma! Les Anglais n'accepterait pas cela au moins. Bien sûr, même Margaret Thatcher est une sorte de petite commerçante. Mais Reagan… Je ne comprends tout simplement pas.
Sahaja Yogi: Il ne semblait pas y avoir beaucoup de choix pour les élections.
Shri Mataji: Hum?
Sahaja Yogi: Il ne semblait pas y avoir beaucoup de choix, juste entre lui et Jimmy Carter. Shri Mataji: Oui.
Sahaja Yogi: Il n'y a pas d'autre choix.
Shri Mataji: Premièrement, Jimmy Carter était une mauvaise idée, vous voyez. C’est comme de se retirer les uns après les autres. Donc, entre eux deux, Je ne sais pas. Mais pour un si grand pays! Vous avez de si grands penseurs! N'avez-vous que ces deux clowns à élire? Ce que Je dis, c’est pourquoi ne pas faire ressortir des gens formidables? Des gens avec des idées, des gens avec une pensée plus élevée. Ou bien autrement, vous ne pourrez pas combattre les Russes à moins que vous n’ayez de belles paroles. Vous devez leur parler de toutes ces grandes choses, alors les Russes n’auront rien à répondre.
Sahaja Yogi: Mère, ils ont une telle attitude de show business envers tout. Ils n'ont pas-
Shri Mataji: Les Américains.
Sahaja Yogi: Ils ne prennent pas cela au sérieux. Même en Occident, avec les Indiens, ils ne font que des films en Inde. Ils ne voient jamais la réalité.
Sahaja Yogi: Est-ce parce qu'ils nuisent à leurs racines?
Shri Mataji: Oh, vous devez avoir des leaders qui sont des visionnaires, vous voyez, ceux qui ont de plus grandes idées. Sinon, comment seront-ils des leaders? Les dirigeants doivent avoir de grandes idées, vous voyez. Le leadership, c’est le fait qu'un leader ne s'attaquera jamais aux petits problèmes de ses partisans mais leur donnera des problèmes à résoudre: "Très bien, résolvez ceci. Résolvez ce problème. Nous devons le faire. Maintenant, Je dois y aller en Amérique, dis-moi maintenant ce que Je dois faire." C’est ainsi que vous devez diriger les gens. Donnez-leur à penser. Au lieu de cela, vous vous concentrez sur leurs plus petits problèmes, voyez-vous, terminé! »
Publié par dictionnaire Sahaja Yoga
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