Joyeux Holi 2020
« En fait, la puja d'aujourd'hui- Je veux en faire une tout petite. Les vibrations sont si fortes, qu'aucune puja n'est vraiment nécessaire et il n’est même pas besoin de dire des mantras. Les mantras plongent aussi les gens dans une humeur sérieuse. Je ne sais pas pourquoi. Donc, avec une humeur très joyeuse, nous finirons en disant juste deux ou trois mantras.
Le Diwali devrait également être célébré avec une humeur joyeuse. Et pour le Diwali aussi, les gens dépensent tellement d'argent qu'ils disent qu'après Diwali, on fait faillite! Cela veut dire que le mot "diwalia" (faillite) vient uniquement de cela. Pouvez-vous le croire? Le mot "diwalia" vient de Diwali. Celui qui célèbre le Diwali fait faillite! Sinon, ce mot "diwalia" d'où pourrait-il venir? Certains mots sont très beaux, "diwalia" en fait partie! Donc, vous avez célébré le Diwali? Maintenant, vous êtes "diwalia" (en faillite)!
Donc, nous autres, n'avons pas à faire faillite. Une telle chose ne devrait pas être faite, qui dépasse les limites. Nous n'avons pas à faire faillite. Faites ce qui est dans vos limites. Au-delà de cela, remettez-vous en à Dieu. Il n’est pas besoin de faire faillite suite au Diwali. Et pas besoin de devenir fou pour célébrer le Holi. Aucune chose ne devrait être faite qui soit indécente, sans décorum, sans culture et très rabaissante. Nous devrions travailler avec décence. Même pour de petites choses, vous connaîtrez les limites.
Hier, les artistes jouaient. Personne ne devrait circuler à ce moment-là. Nous devons respecter toutes les formes d'art. Vous devez avoir vu que lorsque des artistes jouent, Je m'assois par terre, pour que vous appreniez aussi comment vous comporter. Les Sahaja Yogis devraient très bien savoir comment montrer du respect, car c'est le protocole. Les artistes aussi, comme vous l'avez remarqué, recouvrent toujours les pieds d'un châle, selon la tradition, s'ils sont vraiment des artistes. Parce que certains Devi ou Devtas peuvent également être là et donc les pieds ne devraient pas apparaître.
Notre pays a tellement de choses subtiles que Je ne peux pas vous en parler! Il y a de si belles traditions dans notre pays. On pourrait dire que c'est comme un très beau châle appartenant à Dieu. Sa profondeur et sa création sont tellement poétiques. C’est une très belle poésie. Mais nous ne comprenons pas et nous ne pouvons pas l'intégrer dans notre vie. Ensuite, tout devient sale. C'est une question de respect et de valeurs.
Hier, mon beau-frère aîné était ici, donc, pendant toute la conférence, il y avait ces maryadas: mon frère mon beau-frère est ici et combien puis-je parler devant eux? …Pour moi, qui est mon frère ou mon beau-frère? Mais comme nous avons cette relation, Je dois leur donner le respect qui leur est dû.
Chaque relation devrait être respectée. Vous pouvez devenir n'importe qui, même un Sahaja Yogi, vous devez quand même respecter toutes les relations. Vous ne devriez pas rompre les relations. Et si vous agissez comme cela, vous comprendrez progressivement qu'il y a beaucoup de douceur là-dedans, et que c'est une chose très douce. »
Shri Mataji Nirmala Devi, Holi Puja, traduit de l'hindi, Delhi (Inde), 29/03/1983
Selon le Bhagavat Purana, le roi rakshasa Hiranyakashipu voulait être immortel. Donc, il a fait beaucoup de tapasya jusqu'à ce que Brahma lui accorde cinq vœux: il ne pouvait être tué ni par un être humain ni par un animal, ni à l'intérieur ni à l'extérieur, ni le jour ni la nuit, ni par les armes projetées ou armes de poing, et ni sur terre, ni dans l'eau, ni dans l'air.
Avec ces pouvoirs, l'arrogant Hiranyakashyap se sentant invincible, décréta que lui seul serait être adoré en tant que Dieu. Quiconque n'acceptait pas ses ordres serait tué. Son propre fils Prahlad, l’innocence incarnée, l’incarnation de Shri Ganesha, refusa d'adorer son père comme un dieu et continua à nénérer Shri Vishnou.
Hiranyakashyap était tellement en colère qu'il tenta de le tuer à plusieurs reprises. Un jour, Hiranyakashyap demanda de l’aide à sa sœur Holika. Holika avait un manteau spécial qui l'empêchait d'être touchée par le feu. Hiranyakashyap lui demanda de s'asseoir dans un feu avec Prahlad, en trompant le garçon pour qu'il s'assoie sur ses genoux. Cependant, alors que le feu rugissait, le vêtement de Holika s’envola et recouvrit Prahlad. Holika fut brûlée à mort et Prahlad sauvé.
Ensuite, Shri Vishnou s'est incarné sous sa quatrième forme, celle de Narasimha, pour tuer Hiranyakashyap:
mi-humain et mi-lion (ni humain ni animal),
au crépuscule (ni le jour ni la nuit).
Il l’a attaqué dans l’embrasure d’une porte (ni à l'intérieur ni à l'extérieur),
l'a placé sur ses genoux (ni sur terre, ni dans l’eau ni dans l’air),
puis a éviscéré le roi avec ses griffes de lion (ni avec une arme de poing ni avec une arme projetée).
Publié par dictionnaire Sahaja Yoga
Mais Je rajouterai seulement que ce Holi doit être transformé en Diwali, et le Diwali en Holi.
L'intégration du Sahaj Yoga sera alors totale.Le Diwali devrait également être célébré avec une humeur joyeuse. Et pour le Diwali aussi, les gens dépensent tellement d'argent qu'ils disent qu'après Diwali, on fait faillite! Cela veut dire que le mot "diwalia" (faillite) vient uniquement de cela. Pouvez-vous le croire? Le mot "diwalia" vient de Diwali. Celui qui célèbre le Diwali fait faillite! Sinon, ce mot "diwalia" d'où pourrait-il venir? Certains mots sont très beaux, "diwalia" en fait partie! Donc, vous avez célébré le Diwali? Maintenant, vous êtes "diwalia" (en faillite)!
Donc, nous autres, n'avons pas à faire faillite. Une telle chose ne devrait pas être faite, qui dépasse les limites. Nous n'avons pas à faire faillite. Faites ce qui est dans vos limites. Au-delà de cela, remettez-vous en à Dieu. Il n’est pas besoin de faire faillite suite au Diwali. Et pas besoin de devenir fou pour célébrer le Holi. Aucune chose ne devrait être faite qui soit indécente, sans décorum, sans culture et très rabaissante. Nous devrions travailler avec décence. Même pour de petites choses, vous connaîtrez les limites.
Hier, les artistes jouaient. Personne ne devrait circuler à ce moment-là. Nous devons respecter toutes les formes d'art. Vous devez avoir vu que lorsque des artistes jouent, Je m'assois par terre, pour que vous appreniez aussi comment vous comporter. Les Sahaja Yogis devraient très bien savoir comment montrer du respect, car c'est le protocole. Les artistes aussi, comme vous l'avez remarqué, recouvrent toujours les pieds d'un châle, selon la tradition, s'ils sont vraiment des artistes. Parce que certains Devi ou Devtas peuvent également être là et donc les pieds ne devraient pas apparaître.
Notre pays a tellement de choses subtiles que Je ne peux pas vous en parler! Il y a de si belles traditions dans notre pays. On pourrait dire que c'est comme un très beau châle appartenant à Dieu. Sa profondeur et sa création sont tellement poétiques. C’est une très belle poésie. Mais nous ne comprenons pas et nous ne pouvons pas l'intégrer dans notre vie. Ensuite, tout devient sale. C'est une question de respect et de valeurs.
Hier, mon beau-frère aîné était ici, donc, pendant toute la conférence, il y avait ces maryadas: mon frère mon beau-frère est ici et combien puis-je parler devant eux? …Pour moi, qui est mon frère ou mon beau-frère? Mais comme nous avons cette relation, Je dois leur donner le respect qui leur est dû.
Chaque relation devrait être respectée. Vous pouvez devenir n'importe qui, même un Sahaja Yogi, vous devez quand même respecter toutes les relations. Vous ne devriez pas rompre les relations. Et si vous agissez comme cela, vous comprendrez progressivement qu'il y a beaucoup de douceur là-dedans, et que c'est une chose très douce. »
Shri Mataji Nirmala Devi, Holi Puja, traduit de l'hindi, Delhi (Inde), 29/03/1983
Selon le Bhagavat Purana, le roi rakshasa Hiranyakashipu voulait être immortel. Donc, il a fait beaucoup de tapasya jusqu'à ce que Brahma lui accorde cinq vœux: il ne pouvait être tué ni par un être humain ni par un animal, ni à l'intérieur ni à l'extérieur, ni le jour ni la nuit, ni par les armes projetées ou armes de poing, et ni sur terre, ni dans l'eau, ni dans l'air.
Avec ces pouvoirs, l'arrogant Hiranyakashyap se sentant invincible, décréta que lui seul serait être adoré en tant que Dieu. Quiconque n'acceptait pas ses ordres serait tué. Son propre fils Prahlad, l’innocence incarnée, l’incarnation de Shri Ganesha, refusa d'adorer son père comme un dieu et continua à nénérer Shri Vishnou.
Hiranyakashyap était tellement en colère qu'il tenta de le tuer à plusieurs reprises. Un jour, Hiranyakashyap demanda de l’aide à sa sœur Holika. Holika avait un manteau spécial qui l'empêchait d'être touchée par le feu. Hiranyakashyap lui demanda de s'asseoir dans un feu avec Prahlad, en trompant le garçon pour qu'il s'assoie sur ses genoux. Cependant, alors que le feu rugissait, le vêtement de Holika s’envola et recouvrit Prahlad. Holika fut brûlée à mort et Prahlad sauvé.
Ensuite, Shri Vishnou s'est incarné sous sa quatrième forme, celle de Narasimha, pour tuer Hiranyakashyap:
mi-humain et mi-lion (ni humain ni animal),
au crépuscule (ni le jour ni la nuit).
Il l’a attaqué dans l’embrasure d’une porte (ni à l'intérieur ni à l'extérieur),
l'a placé sur ses genoux (ni sur terre, ni dans l’eau ni dans l’air),
puis a éviscéré le roi avec ses griffes de lion (ni avec une arme de poing ni avec une arme projetée).
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