Vaincre la peur du noir

« En mai 1982, à Lisbonne (Portugal), un jour, mes parents m'ont réveillé vers 4 heures du matin et m'ont montré une photo en noir et blanc d'une femme indienne appelée Shri Mataji. J'avais peur de la photo et j'ai demandé à mes parents de la prendre au cas où cela m'empêcherait de dormir par peur. Cette nuit-là, j'ai dormi comme un loir sans aucune crainte. De plus, pour la première fois de ma vie, la voix du Christ est apparue dans mon rêve et m'a ordonné de rendre visite à mon cousin en prison. J'avais toujours refusé obstinément de rendre visite à mon cousin en prison, mais c'était la voix du Christ dans mon rêve et je suis parti le lendemain avec mes parents. En revenant de prison, mes parents m'ont emmené voir Shri Mataji. Elle m'a alors dit que je devrais aller rendre visite à mon cousin en prison pour lever sa Kundalini.
À ce stade, j’ai senti que Shri Mataji devait être derrière la voix dans le rêve qui m’avait demandé de pardonner à mon cousin et de lui rendre visite en prison. La puissance de la photo de Shri Mataji est tel que mon propre salut a débuté par un coup d'œil posé sur sa photo alors que j'en avais un peu peur car je pouvais voir qu'il s'agissait d'une dame mystique d'après le halo sur la photo. (À cette époque, sur les photographies en noir et blanc de Shri Mataji, un halo avait été peint autour de la tête de Shri Mataji.)
Pendant la nuit, j’avais toujours eu peur de l’ésotérisme et c’était la première fois qu'ayant jeté un coup d’œil à la photo de Shri Mataji, j'avais dormi d’un sommeil profond et sécurisant qui m'avait donné confiance pour persister. À partir de ce moment-là, j'ai dormi avec une photo de Shri Mataji dans ma chambre, souvent avec une bougie allumée, et deux ou trois mois plus tard, j'ai finalement guéri de cette peur nocturne de l’ésotérisme.
Quand j'ai rencontré Shri Mataji, elle m'a donné une guirlande de piments à mettre sous mon oreiller. J'ai demandé pourquoi. Elle m'a expliqué que cela aide à chasser les forces négatives. Je lui ai demandé si les forces négatives se fâchaient quand on les chassait. Elle m'a répondu que j'étais en sécurité et qu'il n'y avait rien à craindre. Cependant, la peur d'utiliser les piments persistait. Pendant un moment, j'ai gardé les piments enfermé à clé dans un tiroir de ma chambre. Il m'a fallu un bon moment pour rassembler mon courage et accepter de dormir avec les piments sous mon oreiller. Le jour où j'ai dormi avec la guirlande de piments sous mon oreiller, j'ai su que j'étais enfin complètement guéri de la peur nocturne de l’ésotérisme qui m'avait tourmenté toute ma vie.
J'ai toujours souffert de douleurs à la poitrine ou d'angine de poitrine depuis mon plus jeune âge et Shri Mataji m'a dit que j'étais un patient cardiaque grave. J'étais étonné qu'elle ait pu se renseigner sur moi sans qu'on m'en ait parlé. Mais la première chose que Shri Mataji m’avait dite en me voyant: Ah il peut traduire! J'étais étonné de savoir comment Shri Mataji pouvait savoir cela à mon propos, mais en fait, j'avais étudié l'anglais pendant deux ans pour pouvoir lire les livres de William Blake. À ce stade, je me souviens de m'être dit, merci, monsieur William Blake, cela en valait la peine. La deuxième chose que Shri Mataji a dit en regardant ma petite amie à côté de moi a été: qu'est-ce que cette dame fait ici?
J'avais emmené ma petite amie avec moi mais c'était contre sa volonté ; elle était athée et elle avait abandonné la religion, elle n'aurait donc pas dû être là. Comment Shri Mataji connaissait tous ces petits détails? Ensuite, Shri Mataji m'a demandé: Tu l'aimes? Mais je n'ai pas répondu à la question. Elle a posé la même question deux fois de plus et je n'y ai pas répondu. Je ne pouvais pas me résoudre à dire que je l'aimais car je ne l'aimais pas et j'étais incapable de mentir à Shri Mataji. Cela m'a surpris de voir moi que ma langue ne pouvait pas mentir à ce point. En fin de compte, j’ai dit la vérité que je ne l’aime pas du tout et j’ai senti que Shri Mataji le savait déjà, ce qui m’a beaucoup surpris également.
À cause de mon cœur, à l'époque, je pouvais difficilement marcher 5 à 10 minutes sans faire une pause et je devais me reposer car je n'étais pas bien du tout. Mais Shri Mataji s'est mise à travailler sur moi un jour pendant longtemps. Elle m'a dit ensuite que mon cœur s'était beaucoup amélioré. La preuve en est venue le lendemain. Le jour suivant, j'allais donc voir Shri Mataji. Mais ma m
oto est tombée en panne d'essence tôt le matin. Je n'avais pas d'argent pour prendre le bus ou le taxi, alors j'ai couru environ 5 kilomètres ou plus avec une partie en montée très raide. Je courais vite, sans m'arrêter, parce que je ne voulais pas être en retard pour rencontrer Shri Mataji. Cela m'a prouvé que mon cœur s'était beaucoup amélioré avec le travail vibratoire que Shri Mataji avait fait pour moi la soirée précédant ce mini marathon. »
D'après le témoignage de Luis
Publié par dictionnaire sahaja yoga

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