La collectivité commence avec la paix intérieure


« La paix vient selon la façon dont vous allez vous réjouir de l'intérieur, voyez comment vous êtes intérieurement, voyez comment est votre Esprit... la paix vient de l'Esprit. Et toute l'atmosphère, une fois que vous vous établirez, sera très paisible.
Les gens sont intelligents, les gens intelligents sont prêts en un rien de temps, ils ne sont pas léthargiques, mais l'atmosphère est paisible et ils sont paisibles intérieurement. Et seul ce genre de paix peut exister, parce que si vous n'êtes pas en paix, occupés avec ceci, occupés avec cela, vous êtes si léthargiques que vous ne pouvez pas vous élever trè haut.

Donc, la paix, vous devez la ressentir. C'est très important ce qu’elle a dit, que vous deviez ressentir la paix, puis la joie. À moins d'avoir la paix, vous ne pouvez pas ressentir la joie qui est là. Et la troisième chose, c'est le collectif. En fait, la collectivité ne commencera que lorsque vous aurez la paix.
Mais il suffit de trois d'entre eux, c'est aussi simple que ça: vous devez aimer votre mère. Si vous doutez de votre mère, cela ne fonctionne pas. Ça marche mieux, c'est beaucoup plus facile car si vous aimez votre mère, vous serez collectifs.
Si vous m'aimez vraiment, alors vous saurez que vous parlerez tous de moi, vous aurez une conversation commune.
Par exemple, les Anglais savent tout sur l'Angleterre. Vous leur demandez: "Darlington, qu'est-ce que Darlington?" "Mère, c'est la meilleure préférée."
Vous leur demandez: "Où avez-vous eu cela?" Ils connaissent toutes choses car c'est un petit pays et ils connaissent tout de lui. Et ils savent ce qui doit être fait et comment cela fonctionne.

Il est très intéressant de voir la façon dont ils en savent à ce sujet, car ils aiment leur pays. Les Anglais aiment leur pays, vous voyez, l’Angleterre est leur amour et c’est pourquoi ils s’apprécient mutuellement.
Si vous ne connaissez pas grand chose de votre mère, alors pour en savoir à mon sujet, si vous parlez ensemble: "Que sais-tu d'elle? Que sais-tu d'elle?" Entre vous, cela vous aidera, cela vous donnera la joie et ensuite la paix parce que votre Mère est ici. Parce que si vous savez ce qu'est votre mère, alors vous saurez qu’il n’y a rien à craindre, qu’il n’y a pas lieu de s'inquiéter, qu’il n’y a rien à se charger, juste à être en paix. Car cette paix, comment la percevoir? Quand vous êtes sur les genoux de votre mère, vous appréciez la paix tout simplement. L'enfant, si vous regardez un enfant, il est au septième ciel quand il est avec la mère. Vous devez ressentir la même chose, vous vous sentirez en paix, il n'y a rien qui dérange...

Sahaja Yogi: J'ai beaucoup appris Shri Mataji, j'ai appris beaucoup de choses, en regardant tout ce que vous faites avec nous. Je voudrais retourner en Angleterre pour leur en parler ...

Shri Mataji: C'est ce dont Je parle, vous avez appris quelque chose de la culture indienne.
Sahaja Yogi: Oui, beaucoup, beaucoup de choses des Indiens.
Shri Mataji: Ils ont beaucoup de sagesse. Vous voyez, ce ne sont pas des gens stupides, ce sont des gens très sages et ils ne peuvent pas comprendre pourquoi les gens se mettent à faire ce qui pour eux est stupide.
Une fois qu'on leur dit: "Cela ne doit pas être fait", c'est fini. Vous voyez, pour eux, écouter leur mère est la plus grande des sagesses. Ce sont des Ganesha, vous voyez, ils connaissent Ganesha. Donc, si Je dis: "Tout cela est absurde, c'est sournois". Ils ne le regarderont plus. Je n'ai pas à courir et à dire: "Ne recommencez pas, ne le faites pas, ne le faites pas". Non. Mère dit les choses une fois pour toutes, les gens le font.

Donc, leur obédience, voyez-vous, une obédience innée, ils ont traditionnellement cette sagesse, ils savent ce dont il s'agit, ils savent ce que c'est, quelle est la vraie chose, à quel point c'est difficile. C'est elle qui agit, c'est la Mère, la Mère primordiale. Pour eux, m'accepter prend à peine une seconde. Vous voyez, dans les villages, personne ne m'a vue. Dans un certain nombre de villages où nous sommes allés, personne ne m'avait vue auparavant! Mais voyez comme ils ont hâte de toucher mes pieds. Ils ne veulent pas écouter mes conférences, rien: "Accepté, ce que vous dites est correct". Rires.
Ils ont tellement hâte de toucher mes pieds. Non seulement eux, mais même les, peut-on dire, les grands politiciens, le ministre en chef, n'importe qui. Ce dont il a hâte, c’est de toucher mes pieds. C'est de l’obédience. »
Shri Mataji Nirmala Devi, conversation avec les Anglais, Bordi, Tour d'Inde, 14/02/1984
Publié par dictionnaire Sahaja Yoga

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le Kavach de la Déesse ou Devi Kavach

Comment faire le bandhan de l'amour?

Hanuman Chalisa par Arun Apte