Les problèmes sont résolus au-delà de la pensée
« Alexandre: Mère, à Rouen, nous devrons bientôt quitter la grande maison car elle était louée sur une courte période.
Shri Mataji: Cette maison.
Sahaja Yogi: Ici, vous y êtes allée une fois.
Michel Cernay: L'ashram de Rouen, Shri Mataji.
Shri Mataji: Oui, oui. Je lui ai parlé à ce sujet: "Tu dois aller à Paris. Je veux que tu sois là."
Et vous restez dans cette maison, maintenant. Laissez-les venir parce qu'ils ont des enfants. Laissez-les venir à l'ashram et s'occuper des gens de l'ashram.
Et vous (Claire) venez et restez dans l'appartement de Marie. Et prenez un travail ici.
Sahaja Yogi: Dans l'appartement de Marie et Alexandre devrait venir ici.
Shri Mataji: Oui, et prenez soin de ces personnes ici.
Et vous serez là parce que – Rires des Yogis.
Oui, oui, l'ashram doit être pris en charge. Je pense que vous avez besoin de quelqu'un pour le faire.
Sahaja Yogi: D'accord, Mère.
Shri Mataji: Alors, vous [Michel] vous l'accompagnez et vous pouvez travailler ici à Paris.
Michel Cernay: Je vais me débrouiller Shri Mataji. C'est un peu difficile à cause de la réglementation, parce que je suis employé par l'État et que mon seul travail, définitivement, est établi dans un endroit, il y a des délais pour demander. Alors-
Shri Mataji: Encore, encore.
Michel Cernay: Nous ferons un bandhan Shri Mataji.
Rires des Yogis.
Michel Cernay: J'aime beaucoup ...(inaudible) -
Shri Mataji: Non, tout ira bien. Tout se passera bien, voyez-vous, faites un bandhan, c'est tout. Vous n'avez pas à réfléchir aux problèmes, faites simplement des bandhans!
Shri Mataji rit
Nous avons le pouvoir. Nous ne devons pas oublier le pouvoir que nous avons, nous ne devrions absolument pas penser à ces problèmes. Parce que si vous pensez à eux, ils en deviennent plus importants.
Emmenez-les au-delà de la pensée.
Il n'y a pas de problème, il faut simplement faire un bandhan. Il se produit tant de miracles, vous n'avez pas idée. Comme pour la maison de Chelsam road que nous avons achetée. Rappelez-vous l'ashram de la route de Chelsam.
Maintenant, le gouvernement lui-même, ce gouvernement anglais - si pauvre - a décidé de nous donner quatre-vingt-quinze pour cent de l'argent pour toutes les réparations de cette maison pour l'avoir rénovée, pouvez-vous le croire? Quatre-vingt-quinze pour cent. Et Linda a dit que: "Si on lui rend son argent, peu importe ce qu’elle a dépensé, elle le donnera à Sahaja Yoga" Alors vous pouvez imaginer.
Comment les choses fonctionnent, vous n'avez aucune idée.
Il y avait un Sahaja Yogi qui est venu Me voir et il a dit: "Mère, je n'ai pas de travail, j'ai essayé et essayé." Il est venu ici d'Australie, c'est un artiste, c'est un très bon artiste mais il n'a pas pu trouver de travail.
[À Marie]. Traduisez.
Alors Je lui ai demandé, J'ai dit: "D'accord, viens donc et laisse-moi voir tes peintures." Et J'ai vu, J'ai trouvé qu'il faisait - il est très doué mais il fait plus attention à d'autres choses qu'aux êtres humains, voyez-vous? (Art abstrait).
Il était donc très inquiet et je l'ai vu et lui ai dit. Et puis j'ai dit: "Maintenant, asseyez-vous et dites le mantra de nirvichara et laissez tout aux pieds de lotus de votre mère." Et dans une demi-heure, il se fait dire qu'il a un grand travail dans une entreprise pour leur faire des tableaux pour un livre, en une demi-heure.
Il y en a un autre- [À Marie] Vous avez dit? Je suis désolée. Je suis désolée.
Marie: Non
Shri Mataji: Non, non, mieux vaut le leur dire.
Marie: J'ai fini.
Shri Mataji: Puis il y en a un autre qui est venu à moi, un très bon Sahaja Yogi. Il a dit: "Mère, je manque d'argent." J'ai dit: "Dois-Je t'en donner?" Il a dit: "Non, non, j'en aurai d'une façon ou d'une autre." J'ai dit: "Remets t'en." »
Shri Mataji Nirmala Devi, conversation avec les Sahaja Yogis français, Le Raincy, France.
23/04/1985 Shri Mataji: Cette maison.
Sahaja Yogi: Ici, vous y êtes allée une fois.
Michel Cernay: L'ashram de Rouen, Shri Mataji.
Shri Mataji: Oui, oui. Je lui ai parlé à ce sujet: "Tu dois aller à Paris. Je veux que tu sois là."
Et vous restez dans cette maison, maintenant. Laissez-les venir parce qu'ils ont des enfants. Laissez-les venir à l'ashram et s'occuper des gens de l'ashram.
Et vous (Claire) venez et restez dans l'appartement de Marie. Et prenez un travail ici.
Sahaja Yogi: Dans l'appartement de Marie et Alexandre devrait venir ici.
Shri Mataji: Oui, et prenez soin de ces personnes ici.
Et vous serez là parce que – Rires des Yogis.
Oui, oui, l'ashram doit être pris en charge. Je pense que vous avez besoin de quelqu'un pour le faire.
Sahaja Yogi: D'accord, Mère.
Shri Mataji: Alors, vous [Michel] vous l'accompagnez et vous pouvez travailler ici à Paris.
Michel Cernay: Je vais me débrouiller Shri Mataji. C'est un peu difficile à cause de la réglementation, parce que je suis employé par l'État et que mon seul travail, définitivement, est établi dans un endroit, il y a des délais pour demander. Alors-
Shri Mataji: Encore, encore.
Michel Cernay: Nous ferons un bandhan Shri Mataji.
Rires des Yogis.
Michel Cernay: J'aime beaucoup ...(inaudible) -
Shri Mataji: Non, tout ira bien. Tout se passera bien, voyez-vous, faites un bandhan, c'est tout. Vous n'avez pas à réfléchir aux problèmes, faites simplement des bandhans!
Shri Mataji rit
Nous avons le pouvoir. Nous ne devons pas oublier le pouvoir que nous avons, nous ne devrions absolument pas penser à ces problèmes. Parce que si vous pensez à eux, ils en deviennent plus importants.
Emmenez-les au-delà de la pensée.
Il n'y a pas de problème, il faut simplement faire un bandhan. Il se produit tant de miracles, vous n'avez pas idée. Comme pour la maison de Chelsam road que nous avons achetée. Rappelez-vous l'ashram de la route de Chelsam.
Maintenant, le gouvernement lui-même, ce gouvernement anglais - si pauvre - a décidé de nous donner quatre-vingt-quinze pour cent de l'argent pour toutes les réparations de cette maison pour l'avoir rénovée, pouvez-vous le croire? Quatre-vingt-quinze pour cent. Et Linda a dit que: "Si on lui rend son argent, peu importe ce qu’elle a dépensé, elle le donnera à Sahaja Yoga" Alors vous pouvez imaginer.
Comment les choses fonctionnent, vous n'avez aucune idée.
Il y avait un Sahaja Yogi qui est venu Me voir et il a dit: "Mère, je n'ai pas de travail, j'ai essayé et essayé." Il est venu ici d'Australie, c'est un artiste, c'est un très bon artiste mais il n'a pas pu trouver de travail.
[À Marie]. Traduisez.
Alors Je lui ai demandé, J'ai dit: "D'accord, viens donc et laisse-moi voir tes peintures." Et J'ai vu, J'ai trouvé qu'il faisait - il est très doué mais il fait plus attention à d'autres choses qu'aux êtres humains, voyez-vous? (Art abstrait).
Il était donc très inquiet et je l'ai vu et lui ai dit. Et puis j'ai dit: "Maintenant, asseyez-vous et dites le mantra de nirvichara et laissez tout aux pieds de lotus de votre mère." Et dans une demi-heure, il se fait dire qu'il a un grand travail dans une entreprise pour leur faire des tableaux pour un livre, en une demi-heure.
Il y en a un autre- [À Marie] Vous avez dit? Je suis désolée. Je suis désolée.
Marie: Non
Shri Mataji: Non, non, mieux vaut le leur dire.
Marie: J'ai fini.
Shri Mataji: Puis il y en a un autre qui est venu à moi, un très bon Sahaja Yogi. Il a dit: "Mère, je manque d'argent." J'ai dit: "Dois-Je t'en donner?" Il a dit: "Non, non, j'en aurai d'une façon ou d'une autre." J'ai dit: "Remets t'en." »
Publié par dictionnaire sahaja yoga
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