Les tribus autochtones de l'Inde
« Parfois, Je me demande ce qui ne va pas chez untel. Il a une belle maison, une très bonne épouse, tout, puis il a une maîtresse, quel en est le besoin? Pour un homme, il est primordial de n'avoir qu'une seule femme, et elle, un seul mari. C'est un tabou. Dès que vous déviez de cela, quelque chose va de travers. Maintenant, qui punit ou qui corrige ou qui détruit? C’est cette Puissance primordiale que nous appelons Paramchaitanya.
Si vous pouvez comprendre que c'est une structure - disons que c'est la structure de ce hangar. Maintenant si vous voulez le casser, vous pouvez le casser parce que vous êtes des êtres humains, mais il sera brisé. C’est aussi simple que ça: nous devons comprendre que nous sommes des êtres humains et que nous ne pouvons pas faire des choses qui vont à l'encontre de notre dharma.
Maintenant, pourquoi le dharma?
Il faut du dharma pour notre ascension. Or, l'homme, dans son intelligence et son approche progressive, pense que tout ce qu'il fait (est sur le mode): "En quoi c’est mal?" Surtout en Occident, c'est très commun. Mais Je dois dire que, pour les autochtones, ou les gens qui sont- Je veux dire que Je ne sais pas si Je devrais les appeler des Indiens autochtones ou non, mais ce sont des gens qui, en quelque sorte, ont été amenés à être conscients de leurs tabous primordiaux. Tout comme les animaux savent ce qui est mauvais pour eux, cette connaissance existait chez les autochtones.
Aujourd'hui, nous sommes ici avec des Australiens, et en Australie, les Aborigènes sont tellement nombreux et J'ai été surprise de voir que la plupart de leurs mots étaient sanscrits. Alors il se peut qu’ils les aient obtenus de l'Inde, ou peut-être qu'ils sont partis de l'Inde pour venir ici. Il y a tellement de mots qui sont sanscrits. Alors J'ai commencé à penser à eux. Normalement, les autochtones, disons qu’en Inde nous avons des autochtones - nous les appelons Gond, Korku, Bhil (au Maharastra).
Il y avait chez nous une femme qui était une femme de ménage, Gaynabai s’appelait-elle. C’était une excellente cuisinière, mais elle avait ses mariadas. Tout le temps, si mon père venait, elle se couvrait immédiatement la tête et passait dans une autre pièce pour le respecter. Personne ne lui avait demandé de faire ça. Leur système de mariage était également étonnamment très bon, et leurs relations avec leurs enfants étaient également très bonnes.
D'une manière ou d'une autre, dans mon enfance, J'ai rencontré beaucoup d'entre eux parce que J'avais aussi l'habitude d'aller dans la jungle où Je les rencontrais. Et J'ai été surprise qu’ils ne buvaient pas – ce dont Je vous parle, c'était il y a environ 60 ans, peut-être plus. Ils ne buvaient pas, ils étaient très "lajashi", c'est-à-dire, modestes pour tout. Une question de prestige, pour eux, était importante: ils n’auraient jamais rien volé, et J'étais vraiment très impressionnée de voir à quel point ces gens étaient aussi dharmiques, aussi bons et aussi heureux. Ils vivaient dans des huttes, ça ne les dérangeait pas, mais ils étaient très propres et soignés. Cela a changé aujourd’hui.
Les mêmes personnes ont tellement changé.
Je veux dire qu'ils étaient comme des gens sacrés, Je vous le dis, des gens saints. Ils vénèrent la Mère, la Terre Mère, rien d'autre. Et J'ai demandé à cette dame: "Pourquoi vénères-tu la Terre Mère?". Elle a dit: "Elle nous donne tout. C’est une mère juste, nous vivons dans la jungle, elle s'occupe de nous, c’est la personne la plus consciente, elle sait que nous sommes là et qu'elle doit s'occuper de nous ". Même pour cueillir quelques feuilles des arbres, ils y réléchissaient (à deux fois).
Mais alors les missionnaires sont venus, ils les ont convertis, ils leur ont donné des jupes et des chemisiers. Je ne sais pas ce qu'ils ont fait. Mais Gaynabai ne les a pas pris, elle a dit: "Qu'est-ce que c'est? Pourquoi devrais-je porter une robe comme celle-ci où tout le corps est exposé? Non, je vais porter un sari, je ne peux jamais l'abandonner. Pourquoi devrais-je porter ce genre de robes sans intérêt?"
Mais quand ils ont rencontré ces soi-disant personnes évoluées, beaucoup d'entre eux ont commencé à vivre comme ça. Ils ont dit: "Vous n'avez pas de liberté, vous êtes juste limités par quelque chose, par quelqu'un". Mais en réalité, ils étaient limités par le caractère sacré, par la compréhension divine et ensuite ils ont commencé à changer. Elle allait bien, son mari allait bien, mais son fils a commencé à boire, c'était le début de la fin. Puis il s’est mis au jeu et à toutes les autres choses. Puis son petit-fils a commencé à aller voir les prostituées, car l'idée, c’était juste que: "Nous sommes libres – en quoi c’est mal?" »
Shri Mataji Nirmala Devi, Ganesha puja, Cabella, 07/09/1997Si vous pouvez comprendre que c'est une structure - disons que c'est la structure de ce hangar. Maintenant si vous voulez le casser, vous pouvez le casser parce que vous êtes des êtres humains, mais il sera brisé. C’est aussi simple que ça: nous devons comprendre que nous sommes des êtres humains et que nous ne pouvons pas faire des choses qui vont à l'encontre de notre dharma.
Maintenant, pourquoi le dharma?
Il faut du dharma pour notre ascension. Or, l'homme, dans son intelligence et son approche progressive, pense que tout ce qu'il fait (est sur le mode): "En quoi c’est mal?" Surtout en Occident, c'est très commun. Mais Je dois dire que, pour les autochtones, ou les gens qui sont- Je veux dire que Je ne sais pas si Je devrais les appeler des Indiens autochtones ou non, mais ce sont des gens qui, en quelque sorte, ont été amenés à être conscients de leurs tabous primordiaux. Tout comme les animaux savent ce qui est mauvais pour eux, cette connaissance existait chez les autochtones.
Aujourd'hui, nous sommes ici avec des Australiens, et en Australie, les Aborigènes sont tellement nombreux et J'ai été surprise de voir que la plupart de leurs mots étaient sanscrits. Alors il se peut qu’ils les aient obtenus de l'Inde, ou peut-être qu'ils sont partis de l'Inde pour venir ici. Il y a tellement de mots qui sont sanscrits. Alors J'ai commencé à penser à eux. Normalement, les autochtones, disons qu’en Inde nous avons des autochtones - nous les appelons Gond, Korku, Bhil (au Maharastra).
Il y avait chez nous une femme qui était une femme de ménage, Gaynabai s’appelait-elle. C’était une excellente cuisinière, mais elle avait ses mariadas. Tout le temps, si mon père venait, elle se couvrait immédiatement la tête et passait dans une autre pièce pour le respecter. Personne ne lui avait demandé de faire ça. Leur système de mariage était également étonnamment très bon, et leurs relations avec leurs enfants étaient également très bonnes.
D'une manière ou d'une autre, dans mon enfance, J'ai rencontré beaucoup d'entre eux parce que J'avais aussi l'habitude d'aller dans la jungle où Je les rencontrais. Et J'ai été surprise qu’ils ne buvaient pas – ce dont Je vous parle, c'était il y a environ 60 ans, peut-être plus. Ils ne buvaient pas, ils étaient très "lajashi", c'est-à-dire, modestes pour tout. Une question de prestige, pour eux, était importante: ils n’auraient jamais rien volé, et J'étais vraiment très impressionnée de voir à quel point ces gens étaient aussi dharmiques, aussi bons et aussi heureux. Ils vivaient dans des huttes, ça ne les dérangeait pas, mais ils étaient très propres et soignés. Cela a changé aujourd’hui.
Les mêmes personnes ont tellement changé.
Je veux dire qu'ils étaient comme des gens sacrés, Je vous le dis, des gens saints. Ils vénèrent la Mère, la Terre Mère, rien d'autre. Et J'ai demandé à cette dame: "Pourquoi vénères-tu la Terre Mère?". Elle a dit: "Elle nous donne tout. C’est une mère juste, nous vivons dans la jungle, elle s'occupe de nous, c’est la personne la plus consciente, elle sait que nous sommes là et qu'elle doit s'occuper de nous ". Même pour cueillir quelques feuilles des arbres, ils y réléchissaient (à deux fois).
Mais alors les missionnaires sont venus, ils les ont convertis, ils leur ont donné des jupes et des chemisiers. Je ne sais pas ce qu'ils ont fait. Mais Gaynabai ne les a pas pris, elle a dit: "Qu'est-ce que c'est? Pourquoi devrais-je porter une robe comme celle-ci où tout le corps est exposé? Non, je vais porter un sari, je ne peux jamais l'abandonner. Pourquoi devrais-je porter ce genre de robes sans intérêt?"
Mais quand ils ont rencontré ces soi-disant personnes évoluées, beaucoup d'entre eux ont commencé à vivre comme ça. Ils ont dit: "Vous n'avez pas de liberté, vous êtes juste limités par quelque chose, par quelqu'un". Mais en réalité, ils étaient limités par le caractère sacré, par la compréhension divine et ensuite ils ont commencé à changer. Elle allait bien, son mari allait bien, mais son fils a commencé à boire, c'était le début de la fin. Puis il s’est mis au jeu et à toutes les autres choses. Puis son petit-fils a commencé à aller voir les prostituées, car l'idée, c’était juste que: "Nous sommes libres – en quoi c’est mal?" »
Les groupes ethniques autochtones de l'Inde sont appelés "tribus répertoriées" dans la Constitution. Ce sont les premiers habitants de l'Inde. La désignation, inventée par les Britanniques, couvre 255 communautés, soit 7% de la population de l’Inde. Les castes répertoriées (Scheduled Castes) et les tribus répertoriées, Scheduled Tribes ou Adivasi, sont divers groupes officiellement désignés de personnes historiquement très défavorisées en Inde (avant, on disait les Intouchables). Les termes sont reconnus dans la Constitution de l'Inde.
Les tribus les plus représentées sont les Gonds, avec quatre millions en Inde centrale (Madhya Pradesh, Maharashtra et Andhra Pradesh), quatre millions de Bhils en Inde occidentale (Rajasthan et Gujarat) et trois millions de Santals en Inde orientale (Bihar, Orissa et Bengale occidental). La plus petite communauté tribale est celle des Andamanais, avec une population de 19 personnes.
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Publié par dictionnaire sahaja yoga
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