Tuez le Narakasura qui est en vous
« Ensuite, il y a le deuxième jour (du Diwali), le jour où Narakasura a été tué. Or Narakasura c’était le diable de l'Enfer, dit-on, très rusé, très intelligent et il a été tué par la Déesse. En fait, il a été tué par une autre incarnation, celle de Kartikeya, mais c’est la Déesse qui lui a donné le pouvoir de le tuer.
Alors, quand il a été tué, cela a été fêté parce que le mal avait été tué. Mais on ne voit plus cela, de nos jours, de mauvaises personnes obtiennent le prix de la paix.
Alors, pourquoi ce genre de cerveau perverti? Comment se fait-il qu'ils utilisent la perversion? C’est tout le contraire de (la paix).
Ce qui a fait marcher ces choses, c'est, encore une fois, la même soi-disant liberté de devenir malveillant. Donc, nous avons la liberté de devenir malveillants. Tout d'abord, nous avons la liberté de ne pas être bienveillants, et d'autre part, la liberté de devenir mauvais.
Ainsi, le Narakasura qui est en nous doit être tué, celui qui nous enseigne le mal, à faire du mal aux autres. Si vous êtes occupés à faire du mal à autrui, vous ne pouvez jamais ressentir la joie, parce que vous aimez faire du mal aux autres. Donc, il faut affronter cela en soi-mêmes, pas (chercher à le voir) chez d'autres personnes. Il est très facile de dire que ce Sahaja Yogi-ci a des blocages, que ce Sahaja Yogi-là est comme ça, mais il est très difficile de dire: "Mère, j’ai ce blocage. J'ai ce problème en moi."
Puis, quand vous commencez à faire votre introspection, votre cœur s’ouvre. Tant que vous n’apprenez pas à ouvrir votre cœur comment pouvez-vous avoir la joie? Ouvrez votre cœur.
Beaucoup de gens vivent à un niveau très superficiel. Bien, certains d'entre eux pourraient se dire:… "J’ai ce conditionnement-ci, celui-là." Mais pourquoi? Vous ne voulez pas ressentir la joie. Alors regardez vous, voyez par vous-même: "Ceci est mon conditionnement, très bien, je vais arranger cela." Regardez-vous dans le miroir, dites-vous : "Ce type de conditionnement inutile, d'où je le tiens? Parce que je suis indien, parce que je suis français, en raison de l'anglais." Ouvrez votre cœur. Et ouvrir son cœur n’est possible que si ce Narakasura qui assis sur votre cœur, est tué, éliminé, une bonne fois pour toutes.
Il y a de la joie dans les toutes, toutes petites choses. Dans les moindres choses, il y a aussi une vague de joie. Si vous êtes sensibles, vous pouvez la ressentir. Et pourquoi ne pas avoir la joie? Pourquoi avoir ces stupides conditionnements qui pèsent sur nos têtes pour un rien du tout qui nous empêchent d’avoir la joie? La joie n’est possible que si vous enlevez (ce Narakasura) qui est assis sur votre cœur.
Donc voici le deuxième aspect du Diwali, c'est qu'il vous faut ouvrir votre cœur. Oubliez votre nationalité, oubliez votre race, oubliez tout. C’est une chose bizarre que les Sahaja Yogis ont. Ils doivent être respectés, ils doivent être traités comme ceci, ou peut-être que c’est parce que nous sommes quelque chose de grand et que les autres ne sont pas assez bien. Si vous ne pouvez pas vous mélanger au collectif, c’est que quelque chose ne va pas chez vous. Il n’y a rien de mal chez les autres.
Il est facile de trouver des défauts aux autres. Mais à quoi cela sert-il? Si vous commencez à trouver des défauts chez les autres, cela ne vous purifie pas. Supposons que Je trouve que vos vêtements ne sont pas propres, mes vêtements ne vont pas se nettoyer en constatant cela, n’est-ce pas?
C’est quelque chose de très pratique et de très simple que de se regarder soi-même, de voir ce qui ne va pas chez soi, et de s’améliorer afin de pouvoir vraiment, vraiment, du fond du cœur, ressentir la joie. »
Shri Mataji Nirmala Devi, Diwali Puja, Italie, 29/10/1989Alors, quand il a été tué, cela a été fêté parce que le mal avait été tué. Mais on ne voit plus cela, de nos jours, de mauvaises personnes obtiennent le prix de la paix.
Alors, pourquoi ce genre de cerveau perverti? Comment se fait-il qu'ils utilisent la perversion? C’est tout le contraire de (la paix).
Ce qui a fait marcher ces choses, c'est, encore une fois, la même soi-disant liberté de devenir malveillant. Donc, nous avons la liberté de devenir malveillants. Tout d'abord, nous avons la liberté de ne pas être bienveillants, et d'autre part, la liberté de devenir mauvais.
Ainsi, le Narakasura qui est en nous doit être tué, celui qui nous enseigne le mal, à faire du mal aux autres. Si vous êtes occupés à faire du mal à autrui, vous ne pouvez jamais ressentir la joie, parce que vous aimez faire du mal aux autres. Donc, il faut affronter cela en soi-mêmes, pas (chercher à le voir) chez d'autres personnes. Il est très facile de dire que ce Sahaja Yogi-ci a des blocages, que ce Sahaja Yogi-là est comme ça, mais il est très difficile de dire: "Mère, j’ai ce blocage. J'ai ce problème en moi."
Puis, quand vous commencez à faire votre introspection, votre cœur s’ouvre. Tant que vous n’apprenez pas à ouvrir votre cœur comment pouvez-vous avoir la joie? Ouvrez votre cœur.
Beaucoup de gens vivent à un niveau très superficiel. Bien, certains d'entre eux pourraient se dire:… "J’ai ce conditionnement-ci, celui-là." Mais pourquoi? Vous ne voulez pas ressentir la joie. Alors regardez vous, voyez par vous-même: "Ceci est mon conditionnement, très bien, je vais arranger cela." Regardez-vous dans le miroir, dites-vous : "Ce type de conditionnement inutile, d'où je le tiens? Parce que je suis indien, parce que je suis français, en raison de l'anglais." Ouvrez votre cœur. Et ouvrir son cœur n’est possible que si ce Narakasura qui assis sur votre cœur, est tué, éliminé, une bonne fois pour toutes.
Il y a de la joie dans les toutes, toutes petites choses. Dans les moindres choses, il y a aussi une vague de joie. Si vous êtes sensibles, vous pouvez la ressentir. Et pourquoi ne pas avoir la joie? Pourquoi avoir ces stupides conditionnements qui pèsent sur nos têtes pour un rien du tout qui nous empêchent d’avoir la joie? La joie n’est possible que si vous enlevez (ce Narakasura) qui est assis sur votre cœur.
Donc voici le deuxième aspect du Diwali, c'est qu'il vous faut ouvrir votre cœur. Oubliez votre nationalité, oubliez votre race, oubliez tout. C’est une chose bizarre que les Sahaja Yogis ont. Ils doivent être respectés, ils doivent être traités comme ceci, ou peut-être que c’est parce que nous sommes quelque chose de grand et que les autres ne sont pas assez bien. Si vous ne pouvez pas vous mélanger au collectif, c’est que quelque chose ne va pas chez vous. Il n’y a rien de mal chez les autres.
Il est facile de trouver des défauts aux autres. Mais à quoi cela sert-il? Si vous commencez à trouver des défauts chez les autres, cela ne vous purifie pas. Supposons que Je trouve que vos vêtements ne sont pas propres, mes vêtements ne vont pas se nettoyer en constatant cela, n’est-ce pas?
C’est quelque chose de très pratique et de très simple que de se regarder soi-même, de voir ce qui ne va pas chez soi, et de s’améliorer afin de pouvoir vraiment, vraiment, du fond du cœur, ressentir la joie. »
Il y a d'autres textes où il est dit que c'est la Déesse qui a tué Narakasura. En fait, ce n'est que lorsque Kartikeya est éveillé en nous-même, que la Déesse peut le tuer.
Publié par dictionnaire sahaja yoga
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