Mahamaya agit par détours
« C'est ainsi que Mahamaya fonctionne: d'une façon gracieuse, d'une façon qui ne vous donne pas l'impression que c'est une manière brute et directe de faire les choses. On ne parle pas de ces choses, on en dit rien. Je veux dire que Je ne veux jamais dire combien d'argent J’aurais à dépenser ou combien J’ai dépensé d’argent, mais Mahamaya joue avec moi, et d'une manière ou d’une autre, m'expose aussi. Même si J'essaie de le cacher, cela finit par être dévoilé. C'est un bon jeu que joue parfois Mahamaya avec moi, la façon dont elle se joue de moi, parce que les Divinités, voyez-vous, essaient aussi de me jouer des tours, de temps en temps.
Par exemple, Je leur avais dit (aux Sahaja Yogis) que, puisqu'ils m’avaient acheté un châle pour la puja du Gourou: "Maintenant, comme vous m’avez acheté ce châle, Je ne vais pas prendre de sari, à aucun prix, quoi que vous fassiez." Ils ont répondu: "Mère, nous avons déjà acheté le sari. Nous avons fait le jupon (qui va dessous)." J'ai dit: "Quoi qu'il en soit, je ne vais pas le prendre maintenant, à aucun prix, quoi qu'il arrive, je ne le prendrai pas." Ils étaient vraiment désolés, vous savez. Parce que je dois suivre les "maryadas". Je dois leur enseigner les "maryadas" ai-je pensé.
Or, ce robinet était assez haut. J'ai donc essayé de l’ouvrir, vous voyez, et le robinet s’est ouvert en grand et tout est sorti! Rires.
Et j’ai été complètement trempée. Entièrement, du haut en bas. Et je suis sortie, puis j'ai dit: "Maintenant, je prendrais bien votre sari." Rires.
Comme ça ... Shri Mataji rit aussi.
Et ils souriaient tous malicieusement, vous savez, un si beau sentiment d'amour! Voyez donc cela: j’aurais du penser: "Après tout, qu'est-ce qu'un sari? S'ils voulaient m’en donner un, j’aurais du le prendre. Et leur amour était si grand. Que coûte un sari? Rien."
Vous voyez, c’est l'amour de ces personnes qui a agit sur moi. Et ce qui est surprenant, c’est que le sari avait la couleur (verte) qu’un gourou doit porter. Et il était si remarquable. »
Shri Mataji Nirmala Devi, séminaire sur Mahamaya, discours du matin, Birmingham, 20/04/1985
Les "maryadas" sont les limites que l'on doit suivre dans la vie quotidienne pour conserver une attitude équilibrée. Par exemple, Shri Mataji voulait sans doute enseigner la justesse dans les dépenses: si un châle avait été acheté, alors il n’était pas nécessaire d’acheter un autre vêtement. Le refus de ce deuxième cadeau montre aussi qu’il ne faut pas dépenser trop d’argent vis-à-vis de Shri Mataji, car ce que Shri Mataji désire avant tout, c’est nous voir évoluer dans notre yoga. Mais comme le désir des Sahaja Yogis était sincère et juste, la "chance", les "coïncidences", qui sont comme des traces que les divinités laissent pour nous en ce monde, ont tourné en leur faveur et ont créé une situation où Shri Mataji a été obligée d’accepter le sari.
Publié par dictionnaire sahaja yoga
Par exemple, Je leur avais dit (aux Sahaja Yogis) que, puisqu'ils m’avaient acheté un châle pour la puja du Gourou: "Maintenant, comme vous m’avez acheté ce châle, Je ne vais pas prendre de sari, à aucun prix, quoi que vous fassiez." Ils ont répondu: "Mère, nous avons déjà acheté le sari. Nous avons fait le jupon (qui va dessous)." J'ai dit: "Quoi qu'il en soit, je ne vais pas le prendre maintenant, à aucun prix, quoi qu'il arrive, je ne le prendrai pas." Ils étaient vraiment désolés, vous savez. Parce que je dois suivre les "maryadas". Je dois leur enseigner les "maryadas" ai-je pensé.
Les Divinités sont très astucieuses.
Alors, avant la puja, je suis allée à la salle de bains, juste pour me laver les pieds. Vous voyez, c'est notre style en Inde, nous nous lavons les pieds. Alors, Je me suis rendue à la salle de bains me laver les pieds et les robinets en Inde sont à n'importe quelle heuteur, voyez-vous. Ils peuvent être ici, ou ils peuvent être là, Rires. Peut être là. Il n'y a pas de restriction à ce sujet vous voyez? Rires.Or, ce robinet était assez haut. J'ai donc essayé de l’ouvrir, vous voyez, et le robinet s’est ouvert en grand et tout est sorti! Rires.
Et j’ai été complètement trempée. Entièrement, du haut en bas. Et je suis sortie, puis j'ai dit: "Maintenant, je prendrais bien votre sari." Rires.
Comme ça ... Shri Mataji rit aussi.
Et ils souriaient tous malicieusement, vous savez, un si beau sentiment d'amour! Voyez donc cela: j’aurais du penser: "Après tout, qu'est-ce qu'un sari? S'ils voulaient m’en donner un, j’aurais du le prendre. Et leur amour était si grand. Que coûte un sari? Rien."
Vous voyez, c’est l'amour de ces personnes qui a agit sur moi. Et ce qui est surprenant, c’est que le sari avait la couleur (verte) qu’un gourou doit porter. Et il était si remarquable. »
Shri Mataji Nirmala Devi, séminaire sur Mahamaya, discours du matin, Birmingham, 20/04/1985
Les "maryadas" sont les limites que l'on doit suivre dans la vie quotidienne pour conserver une attitude équilibrée. Par exemple, Shri Mataji voulait sans doute enseigner la justesse dans les dépenses: si un châle avait été acheté, alors il n’était pas nécessaire d’acheter un autre vêtement. Le refus de ce deuxième cadeau montre aussi qu’il ne faut pas dépenser trop d’argent vis-à-vis de Shri Mataji, car ce que Shri Mataji désire avant tout, c’est nous voir évoluer dans notre yoga. Mais comme le désir des Sahaja Yogis était sincère et juste, la "chance", les "coïncidences", qui sont comme des traces que les divinités laissent pour nous en ce monde, ont tourné en leur faveur et ont créé une situation où Shri Mataji a été obligée d’accepter le sari.
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